François de Frédy, contrôleur des Rentes avant 1685. Marie-Joseph-Armand de G., député en Cour par l'Ordre de la noblesse, aux États de Bretagne de 1788 (, Jean Gouyon, seigneur de Coipel, en Renac, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 15 juin 1669 (. Henri-Louis de Fredy de Taverny, avocat en 1747, conseiller-clerc au Parlement de Paris, guillotiné en 1794 (, Julien de Freslon, seigneur de La Freslonnière, en Le Rheu (Ille-et-Vilaine), chevalier de l'Ordre du Roi en 1617. Sa veuve, maintenue noble en Bretagne, avec ses enfants, le 27 mai 1669 (, Gilles Jegou, seigneur de Kervillio, en Saint-Gilles-Pligeau (Côtes-d'Armor), capitaine de la, Pierre Jouan, seigneur de la Ville-Jouan, en Châteaulin (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 7 mai 1675 (, Louis Jousseaume, lieutenant général des Armées du Roi, gouverneur de Poitiers, créé marquis de La Bretesche en 1757 (, Augustin-René-Pierre Joyault de Couesnongle, en Saint-Jacut, (Morbihan), fermier général du comté de Rieux. Histoire Les premières mentions de la famille ont été relatées dans les annales de Gerhoch de Reichersberg (de) [1] . Avait obtenu le 21 avril 1777 des lettres d'approbation de service pour lui, son père et son grand-père et avait été créé marquis de La Rozière par Lettres Patentes de 1780. Voir : Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z). d'O., capitaine de cavalerie du Saint-Empire, obtint, du roi de Suède Charles XII, confirmation de sa noblesse, en 1701. anoblie par lettres Patentes de mai 1678, enregistrées en la cour des aides de Montpellier le 26 août 1679 (Authier et Galbrun, En 1965 un membre de cette famille substitue à son nom celui de « Gravier de Vergennes » par demande de changement de nom auprès du Conseil d'État. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Framed. Famille éteinte. Pierre-Eugène-Joseph d'H de T., émigré à l'Armée de Condé (, Jean, Hersart, seigneur de La Villemarqué (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 24 mai 1669 (, Yves-Michel Hervé du Pehhoat, commissaire du roi en ses conseils en 1774, subdélégué de l'Intendance et commissaire des États de Bretagne en 1776, maire de Saint-Paul, arrêté le 13 brumaire, an II, comme père d'émigrés et agent royaliste, guillotiné à Brest le 7 juillet 1794. C'est en sa faveur que la terre du Ménil a été érigée en baronnie par Lettres du mois d'octobre 1778, reg.à Rouen le 14 janvier 1779. Joseph-Henry, de G. d'O., venu en France, converti au catholicisme, capitaine d'artillerie avant 1730. François de Bouvet anobli par lettres données à Bar le 12 novembre 1501 par le duc René II de Lorraine, avec lequel il participa à la guerre d'Italie. Charles-Marie de Kerguiziau, colonel de cavalerie à l'armée de Charette, puis chef des chouans dans la division de Lantivy, prisonnier à Quiberon, fusillé à Vannes, le 3 août 1795 (, Cette famille fut maintenue noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 24 juillet 1669. D'argent à trois croissants de gueules. Louis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier, La famille Cauvel de noblesse chevaleresque suédoise est installée à Montdidier depuis le début du, Lettres de confirmation de noblesse enregistrées le, second rameau cadet de la branche aînée des marquis de Curton. (Comte de Waroqier, Acte récognitif : Lettres patentes conférant le titre héréditaire de Baron le, Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Bibliothèque nationale, Nouveau d'Hozier, volume 149, ...., p.--, Acte récognitif : Certificat de noblesse délivré le, Acte récognitif : Certificat de sous-lieutenance délivré par, Les Gasquet étaient cultivateurs et ménagers à Cuers, au Revest, à Tourves et dans d'autres localités voisines, vers le milieu du, Acte récognitif : Procès-verbal des preuves de noblesse du, lettres de confirmation de noblesse en 1698 non enregistrées. Olivier de G., convoqué aux États de Bretagne de 1720 et 1722, major de l'arrière-Ban de l'évêché de Vannes et capitaine-général, garde-côtes d'Auray. famille noble éteinte Famille Roux , Sr de La Plagne D'argent à une fasce d'azur chargée de deux étoiles d'or, accompagnée en chef d'un lion de gueules, et en pointe d'un croissant du second. Pour les références complètes voir ci-dessus (section « Bibliographie »). Par acte de Reconstitution. (Source ANF, AG du 15 décembre 1951, AR1720). François Guillaume de Sauville (1740-1813) fut nommé conseiller en la Cour des Monnaies par provision du 20 janvier 1768 et reçu le 3 février. Jean-Guy G., seigneur du Boisdulier, en Chelun (Ille-et-Vilaine), contrôleur général des Domaines et Bois en Bretagne, après 1735 (, Noël-Alain Garnier, seigneur de la Ville-és-Bret, en Caulne (Côtes d'Armor), membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1748 et 1754. D'autres ont : anobli (relief), ce qui signifie que des lettres patentes les ont relevées de la dérogeance. Joseph-Charles H. du F., né le 19 avril 1812, général de division, grand officier de la Légion d'honneur (, Claude Harscouët, seigneur de Goasbian, en Plouha, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne en 1669. Paul-Jean G deV., capitaine des vaisseaux du roi, brigadier des Armées navales, avant 1776. Heeckeren d'Anthès (de) par arrêts des tribunaux français en 1947, 1948 et 1950. Jacques-Charles de G., cornette au régiment de Penthièvre, puis chef d'escadrons, chevalier de Saint-Louis, le 24 mars 1762, convoqué aux États préparatoires pour les élections des États Généraux de la Noblesse, le 27 janvier 1789. La famille de Saint-Martin de Bagnac est une ancienne famille noble française, éteinte en 1892. Les NOBLE, naissances en France . La famille Recopé remonte sa filiation suivie à Nicolas Récopé, né le 22 novembre 1762 à Choisy-au-Bac (Oise) Oise et mort le 22 février 1832 à Compiègne (Oise), garde de la forêt de Compiègne, marié à Marie-Anne Elisabeth Jacquin. Maitenue à l'Intendance de Provence, le 19 octobre 1668. Enregistrées en la chambre des Comptes de Normandie le. Acte récognitif : Procès-verbal des preuves de noblesse de Pierre du Chassaing de Rateboul (alias Ratevoul). Reconnue noble par le Conseil Supérieur de Corse le 11 février 1771, en exécution de l'édit du Roi de 1770. Tableau de la noblesse orésenté au roi. Acte récognitif : François de Coataudon, écuyer, seigneur de Hamon, et son fils Guillaume, Le chef de cette famille, Nicolas Colas, s'est fixé en Orléanais vers 1350, étant conseiller du duc d'Orléans, fils du roi Philippe VI de Valois. La forme (date 1 - ? ) Pierre-Joseph, marquis de Kergariou, capitaine des vaisseaux du Roi, chef de division des armées navales le 16 décembre 1786, gouverneur de Lannion, émigré, major dans la compagnie de Dresnay, tué à Quiberon le 16 juillet 1795 (, Jean de Kergorlay, seigneur de Kersalaün, en Pluvien (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 2 mars 1671. Mathurin Chéreil, conseiller du roi en 1685, procureur général syndic de Rennes en 1687, subdélégué de l'Intendance, député de la noblesse des États de Bretagne en 1715. de Cast. Jean-Charles d'E., maréchal de camp, gouverneur de Furnes en 1729. Louis François E. de B., admis dans les gardes du corps du Roi le 28 mai 1788. (Comte de Waroquier. Gabriel Artur, seigneur du Ronceray, procureur du roi, maintenu noble en Normandie en 1671 (, Charles d'Aubert, seigneur de Launay-Beaulieu, maintenu noble à l'intendance de Bretagne en 1698, puis au Conseil d'État en 1706 (, Guy Aubert, marchand de draps de soie à Rennes, acquéreur le 27 novembre 1690 de la charge anoblissante de conseiller-secrétaire du roi près la chancellerie du Parlement de Bretagne (, Pierre Aubert, sieur de Vincelles en Auxerrois, anobli en 1669 par la charge de conseiller du roi, admis dans l'orde de la noblesse aux États de Bourgogne en 1682 (, Josué-Alexis Augé, maire de Passy, anobli le 30 juin 1830 (, Louis d'Augustin, seigneur de Bouguisson en Epeigné (Indre-et-Loire), Gouverneur de Furnes (Flandre), maintenu noble en Touraine le 25 février 1661 (, Jacques d'Aviau, seigneur de Relay et du Bois-de-Sanzay, en Saint-Martin-de-Sanzay (Deux-Sèvres), page de la reine, capitaine au régiment de Persan, Chevalier de Saint-Michel, maintenu noble au Conseil d'État en 1668 (, Jacques-René Barbier du Doré, chef de division des armées catholiques et royales de l'ouest, colonel, chevalier de Saint-Louis, anobli le 28 mars 1818 (, Pierre-François de Beaudrap, député de la noblesse du Cotentin aux États généraux de 1789 (, Joseph de Bentzmann, maintenu noble à l'Intendance de Guyenne, à Bordeaux, le 12 décembre 1757 (, Jean-Claude Blanchet, seigneur de Pravieux, anobli en 1731 par l'échevinage de Lyon. L'adjonction du nom de Fitz-James par adoption en 1923. Louis de La V., né en 1777, membre de l'Armée Royale de Bretagne en 1794, chevalier de Saint-Louis et de la Légion d'Honneur (, François du Garreau, gentilhomme ordinaire de la Chambre, capitaine-exempt des Gardes écossaises du corps du Roi, en 1650. à noter qu'elle mélange des familles qui étaient membres de la noblesse française avant 1789 avec des familles qui ont été anoblies, confirmées nobles, ou titrées au XIXe siècle. Guy-Joseph-Henri de Fontaines, président du Comité royaliste en 1793 (, Gilles de Forges, seigneur de La Gaudinaye, en Glénac, (Morbihan), maintenu noble en Bretagne, en 1669 (, Hilarion de Forsanz, seigneur du Houx, en Talensac (Ille-et-Vilaine) (, Laurent du Fou, seigneur de Bézidel, en Cléguérec (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 11 mai 1669. Le titre de marquis, éteint avec son seul fils en 1711, n'est que de courtoisie depuis. René-Jean-Marie de K. de K., contre-amiral, chevalier de Saint-Louis, admis aux honneurs de la cour en 1787 (, Jacques de Kerguiziau, seigneur de Kervasdoué, en Plouzané (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 18 janvier 1669. Jean du G., mousquetaire français au service de l'Electeur de Cologne en 1637, puis dans la, René-Simon de Gasté, secrétaire du Roi en 1752. François de Hillerin, lieutenant des vaisseaux du roi en 1777 (, Mathurin Hingant, seigneur de Saint-Maur, en Caulne, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 16 novembre 1668 (, Jean-Joseph-Thomas Houitte de La Chesnais, avocat au Parlement de Bretagne en 1777, juge au tribunal de district en 1790, président du tribunal civil de Saint-Malo, député d'Ille-et-Vilaine, de 1811 à 1815, anobli le 9 décembre 1814 (. Devisch [339] Ecuyer Concession de noblesse et du titre personnel de baron en faveur de Noël Devisch en 2008. Pierre-René-Auguste de B. d'Ars, député de la noblesse de Saintonge aux États Généraux de 1789 (, François-Marie Briant de Laubrière, maire de Quimperlé, anobli le 28 décembre 1815 (, Jean Guillaume Briot, anobli le 24 mai 1823 (, Victor de Broc, seigneur de La Ville -au-Fourier, maintenu noble en Anjou le 28 septembre 1668 (, Charles Brochard, seigneur de la Roche-Brochard, en Béceleuf (Deux-Sèvres), maintenu noble en Poitou le 10 septembre 1667. Pierre de Fontaines, conseiller du roi, secrétaire des finances de la duchesse de Berry, le 20 septembre 1714. Des origines au début du XVe siècle. Jérome Adrien de Joybert, député de la noblesse en 1789 (M. de Caumartin, Après alliance avec une Battant de Pommerol en 1849, ajout légal de "Pommerol" par décret du 3 février 1914, Acte récognitif : Lettres patentes d'anoblissement du roi d'Espagne, Philippe II, du, Famille subsistante et incorporée dans la noblesse néerlandaise en 1900 et 1910 ; voir, Acte récognitif : Protestation de la Noblesse du. Armand-Guy-Charles de Coëtnempren, comte de Kersaint, chevalier de Saint-Louis, confirmé dans son titre de comte le 30 avril 1830 (, Jean des Cognets, maintenu noble en Bretagne en décembre 1668 (, François Collas, maitenu noble d'extraction en Bretagne le 5 janvier 1669 (, Jean de Coniac, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 19 février 1669 (, Erasme-Gaspard, comte de Contades, colonel des chasseurs de Picardie en 1782, major général de l'Armée Royale à Quiberon en 1795, comte de l'Empire le 28 mai 1809, pair de France le 17 août 1815, président du Conseil général d'Indre-et-Loir, comte-pair de France héréditaire le 31 août 1817 (, Pierre de Cornulier, seigneur de Lucinière, grand-veneur et maître des Eaux et forêts en Bretagne de 1642 à 1656, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668 (, Jean de Couasnon, homme d'armes de la compagnie du Cardinal de Richelieu, en 1636. Giacinto Boërio est l'un des Douze Nobles de la liste corse en 1636. La famille de Semallé est une famille de la noblesse française, éteinte en ligne masculine en 1982, et en ligne féminine en 2019. Jean de Chalus, reconnu noble par un arrêt de la cour des aides de Paris du 20 décembre 1754 (, Jacques de Champs, seigneur de Saint-Léger-de-Fougeret (Nièvre), maintenu noble par la Cour des Aides de Paris le 8 août 1657 (, Julien de Chappedelaine, (1649-1710), écuyer, épouse à Lamballe le 8 juin 1677, Françoise de Gouyon. Louis-François F. de C., général de Division, baron d'Empire en 1808, comte héréditaire en 1820 (, René de France, seigneur du Chauchix (côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 (, Claude de Francheville, seigneur de Truscat en Sarzeau (Morbihan), sénéchal au Présidial de Vannes, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 20 août 1669. Alain Galbrun, in, Acte récognitif : Lettres de provisions d'office de. Augustin de V., conseiller au Parlement de Bretagne en 1745 (, François-Marie, baron de Froment, lieutenant-colonel, en 1791, chevalier de Saint-Louis, baron héréditaire le 4 novembre 1815. De même cette liste ne tient pas compte du droit français actuel de la filiation. - 1922, t.III, page 156. Le général, Charles-Jacques Estourmel, seigneur de Tersannes (Haute-Vienne), garde du corps du roi en 1705, reconnu noble en 1718. de Trannoy (1970 - 2006) (dernier rameau d'une famille noble française (1830 sous Charles X) avec titre de baron, reconnue depuis 1883 par la noblesse du Royaume de Belgique, et éteinte en Belgique) Il obtient le 4 décembre suivant des lettres d'honneur de conseiller, enregistrées le 18. La Barre, châtellenie et seigneurie en Anjou, érigée en marquisat par Lettres de juin 1633, reg. Florentin-Claude de Kerautem, émigré, puis chef de division de l'armée catholique et royale de Bretagne, pris et fusillé par les bleus au village de Baraval, en Saint-Aignan (Morbihan), le 2 ventose An II (, Pierre-Maurice de Kergariou, seigneur de Coëtilliau-en Poubezre (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 21 mars 1669. François D de La S., reçu page du Roi sur preuves de 1785, chasseur noble à l'Armée de Condé (, Jean du Desnay, maintenu noble en Bretagne, le 27 juillet 1669. De descendants d'une branche non noble dans une famille dont une autre branche, éteinte, a été noble. Armand de Gérard, maintenu noble d'extraction à l'Intendance de Guyenne le 6 novembre 1666, commandant du ban de la noblesse du Sarladais le 3 juin 1674. Gaspard de Bonardi, écuyer en 1624. Jean Jacques Delfau, président trésorier de France au bureau des finances de Montauban, en 1728. Famille représentée aujourd'hui par Yseult et Sabine nées en 1929 et 1931 à Saïgon. L'auteur ne cite aucune création de titre de marquis en ce qui concerne la famille Dax et en ce qui concerne Marc Antoine de Dax il écrit « dit le marquis d'Axat », Alexandre Achard, seigneur du Pas-de-la-Vente, maintenu noble en Normandie le, Nicolas Ameline de Cadeville, gouverneur de l'île et du château d'Oléron, maréchal de camp, Chev. Total des naissances pour le patronyme NOBLET : 1891 - 1915 : 848 1916 - 1940 : 1 132 1941 - 1965 : 1 574 1966 - 1990 : 1 363 Jean-Louis-Marie de K., officier de la Marine royale, déporté à la Guyane où il est mort en 1799 (, Jean-Baptiste de Kermoysan, seigneur du Plessix, maintenu noble en Bretagne le 25 juin 1669. André Huchet, seigneur de la Bédoyère, procureur général au Parlement de Bretagne en 1650, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 7 octobre 1668. Cet article recense les familles comptant au moins un membre vivant (homme ou femme) qui, selon les règles de transmission de la noblesse en vigueur en France en 1789, descendent en ligne masculine, naturelle [sans adoption], et légitime [dans le cadre du mariage] d’un auteur en possession de la noblesse française transmissible (ou d’un titre d’Empire/Restauration, NDLR), par acte émanant du pouvoir souverain d'un territoire aujourd'hui français[1]. Str. Érection en marquisat de la seigneurie de Royon (Pas-de-Calais) en avril 1692 par Lettres Patentes du roi Louis XIV. Famille de, Alexandre de Cahouët, inspecteur général des Ponts et Chaussées, est anobli le 26 avril 1817 (, Louis-Jean de Cargouët, maintenu noble en Bretagne le 15 avril 1669 (, François de Carheil, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le, Philibert de Carné, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, dans le ressort de Lesneven, le, Jacques-Marie Carron, avocat, anobli le 17 février 1815 (, Guillaume de Castel, chevalier, maintenu noble en Bretagne le 8 avril 1669 (, Jean de Castellan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 7 décembre 1668 (, Jacques de Cavelier, seigneur de Mocomble en Normandie, conseiller du roi, trésorier général de France à Rouen, le 3 mai 1652.
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